(1/1) f - surprise ! you're a dad now.

- Francesca est née en Italie où elle a passé une partie de son enfance. Son père était un sbire de la Cosa Nostra, c'est pour renforcer les rangs italiens qu'il a fait déménager toute la famille à Bristol pendant sa jeunesse.
- elle n'a jamais été vraiment considérée par les hommes du clan ; jolie, douce, naïve, elle servait plus d'apparat qu'autre chose.
- quand la Cosa de Bristol a commencé à exploser il y a quelques mois, elle a vu des proches mourir pour une cause à laquelle elle ne croyait même pas. Cette guerre de gangs lui a pris père, frère, cousins, amis, et tout ça pour quoi ?
- elle avait envie d'ailleurs, envie d'autre chose, envie d'un renouveau. Envie de régler ses comptes, aussi. L'excuse est toute trouvée : il y a ce gosse qui grandit en elle depuis six mois. Qu'Andrea soit son père ou non, c'est une autre histoire (au choix !)

( first lie win )
cazzo. Les deux traits bleus sont sans équivoque. Someone got her fucking pregnant. Il y a quelques candidats pour le titre mais un seul s'impose dans son esprit. Andrea. Son visage anguleux, son air sombre, ses nuits assassines. Ils ont passé les dernières années dans une relation qui n'en n'avait pas le nom. Pourtant, il était plus tendre avec elle qu'avec d'autres, elle le sait. Il y a des attitudes qui ne mentent pas. The bastard cared. Mais s'il y a bien une chose qu'il a loupé, comme tous les autres, c'est elle. Elle et ses yeux et ses oreilles qui trainent, elle qui comprend plus vite que l'on ne le pense ; elle à qui il murmurait des secrets dans son sommeil. Parce qu'elle n'était pas une menace, Andrea a baissé sa garde sans même s'en rendre compte. Bien sûr qu'il n'était pas un membre de la Cosa comme les autres. La couverture était belle mais c'est sous celle-ci que Francesca s'est glissée. Elle n'avait peut-être pas tout les éléments, mais elle savait. Never trust a Yankee. Elle n'a rien dit, pourtant. Parce qu'elle se foutait du clan. Parce qu'elle aimait leurs moments. Elle y a cru, un instant. Peut-être même que lui aussi. Les lèvres ne trompent pas. C'est peut-être pour ça que la douleur de son départ s'est révélée si vive. Elle aurait dû le voir venir ; et pourtant. Deux traits bleus pour un enfant sans père. Il est peut-être temps d'aller à la recherche du paternel idéal. Mettre les poings sur les i. Lui ouvrir les yeux sur ce qu'elle sait de lui. Ce qu'il ne sait peut-être pas lui-même.